Le célèbre “hebdo qui pique” aura 100 ans en 2024. Avec sa notoriété élevée et son ADN fort, le plus ancien magazine belge se veut plus que jamais à l’écoute de la société.
Les raisons de sa longévité, Jean-Luc Cambier, son rédacteur en chef, l’explique en partie par ce qui fait sa différence :
« on crée le lien entre les lecteurs et le monde qui les entoure. On veut ouvrir des fenêtres, à travers des explications, des illustrations…
Notre rythme de lecture et d’écriture est différent des autres. On essaie de rendre les histoires personnelles, de convaincre aussi fort émotionnellement que rationnellement. »
Le cœur de cible de Moustique, ce sont les 45 à 60 ans. Jean-Luc Cambier indique que le magazine « touche toutes les classes sociales de 1 à 4, mais avec une position plus forte entre 2 et 3. Nous avons une belle parité entre hommes et femmes (50/50) et 2/3 de nos lecteurs sont des urbains. Ce sont des lecteurs exigeants, éclairés. »
Ce qui fait la force du magazine ? Son positionnement libre, son ton décalé (« de l’ironie, oui, mais jamais du pathos »), et aussi son focus sur la culture, comme la musique et les festivals: « la culture, ça parle de la société. Alors on fait des liens entre la culture et des thématiques de société. Pas juste du divertissement, mais aussi de la conscientisation. »
Un magazine qui fait le lien entre l’actu et les lecteurs, avec des incarnations d’histoires qui éclairent la société… mais pas que puisque « nos préoccupations correspondent aussi aux thématiques des annonceurs : l’alimentation, l’économie, la consommation… ». Une formule qui fait toujours mouche puisqu’avec ses 702.000 lecteurs*, Moustique continue d’afficher une santé de fer !
*source: CIM Readership Survey 2022, Total reach of total brand
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