Le Belge consomme en moyenne 5h13 de contenus vidéo par jour en 2021, selon une récente étude (Video Observe march 2022, IP). En moyenne, 63 % de ces contenus seraient liés à la télévision, le reste concerne des contenus sur le web ou les médias sociaux.
Générations tv et générations réseaux sociaux
Ces chiffres sont à mettre en perspective avec l’âge des consommateurs. Les 18-24 ans tirent cette moyenne vers le haut en allant jusqu’à 5h31… dont seulement 32% de vidéos liées à la tv. Pour les 25 à 34 ans, la moyenne de ces contenus vidéos descend à 4h48 avec 50 % de télévision. Les 35 à 64 ans visionnent 5h15 de vidéos dont 70 % en télévision. Quel enseignement peut-on en tirer ? La télévision est consommée par les populations plus âgées.
IPM et son contexte « brand safe »
Pour toucher les jeunes, les annonceurs se tournent vers la vidéo diffusée sur le web et les médias sociaux. Or, dans les médias sociaux, le risque de bad buzz ou de viralité négative est réel. La marque n’a pas le contrôle du contexte dans lequel les annonces sont vues.
IPM Advertising dispose d’un univers « brand safe », c’est-à-dire, dans lequel les marques connaissent la qualité. Les contenus des sites sont produits par des journalistes et non pas générés par les utilisateurs. Le surfeur vient car il sait qu’il est en lieu sûr, que les infos ont été recoupées et créées par des professionnels.
Ces sites d’informations, considérés comme des « safe haven » par les lecteurs offrent, eux aussi, de réelles possibilités d’annonces en vidéos :
– Inread : une vidéo unique de l’annonceur est diffusée sur les pages d’articles comprenant plus de trois chapitres. La publicité se lance automatiquement et n’est pas intrusive.
– Pré-Roll : ces courtes vidéos passent avant des vidéos mises en ligne par la rédaction.
Quotidiennement, au sein d’IPM, ces formats atteignent plus de 600.000 lecteurs, tous sites confondus. Ce chiffre continue d’augmenter car de plus en plus de contenus vidéos sont produits sur nos plateformes.