L’offre « sport » d’IPM en mode XXL

650 ! C’est le total des pages produites chaque semaine par la rédaction sportive au sein d’IPM. Un calcul qui donne un peu le vertige à Pascal Alexandre, nouveau directeur des Sports : « c’est de loin l’offre sportive la plus importante en…
30 avril 2021

650 ! C’est le total des pages produites chaque semaine par la rédaction sportive au sein d’IPM. Un calcul qui donne un peu le vertige à Pascal Alexandre, nouveau directeur des Sports : « c’est de loin l’offre sportive la plus importante en presse écrite francophone. »

Le nouveau directeur connait bien son secteur. Chef du service sportif national et international à L’Avenir depuis 2005, il a pu y aiguiser ses compétences managériales, tout en gardant un lien avec le terrain. Il a notamment couvert les JO de 2012 et 2016, plusieurs championnats d’Europe d’athlétisme et de basket, les tournois de grand chelem de tennis…

Un profil « omnisports » qui a retenu l’attention du management d’IPM au moment de pourvoir au remplacement de Benoit Delhauteur, ex-patron des sports de La DH, parti à l’automne dernier rejoindre la RTBF.

Comme une agence de presse

En tandem avec Jonathan Lange, rédacteur en chef des sports de La DH, Pascal Alexandre a l’ambition de développer les synergies entre les 3 titres du groupe, L’Avenir, La DH et La Libre. « Nous pouvons nous appuyer sur 40 journalistes professionnels pour couvrir le national et l’international. On va travailler à l’instar d’une agence de presse : couvrir les sujets, produire du contenu, et faire en sorte que ceux-ci atterrissent sur les bons supports, en fonction de la ligne éditoriale de chaque titre. »

Fraichement nommé dans sa nouvelle fonction, Pascal Alexandre entend aussi relever le challenge du « web first ». « D’ici quelques mois, l’objectif est que 70% de nos contenus arrivent sur internet avant le papier », détaille-t-il.

Une vision qui va de pair avec le développement et la professionnalisation de divers formats, comme les podcasts, les Facebook Live, les stories Instagram, les vidéos…

Un format qui fonctionne bien ? Pascal évoque « Vestiaire », un nouveau concept d’interviews lancé en février par La DH, avec un podcast et des vidéos décalées. Un sportif est invité à lever le voile sur son intimité, sur des sujets du quotidien, des anecdotes de compétition, des grandes thématiques de société, mais aussi sur des thèmes plus légers, comme ses habitudes en termes de musique ou de séries. Ces épisodes se retrouvent littéralement partout : les réseaux sociaux, les sites web, les journaux, sur Spotify et sur d’autres plateformes de podcast.

Faire des expériences… et accepter de nous planter !

« Nous allons clairement aller dans cette voie de variété de formats, mais aussi dans le sens d’une interaction plus grande avec nos lecteurs et internautes. Nous testerons donc des concepts, en acceptant parfois de nous planter ! », sourit celui qui a encore d’autres idées dans sa besace.

« Je souhaiterais que l’on traite certains sujets avec davantage de profondeur et d’expertise. Pourquoi ne pas sortir une grande enquête par semaine ? Ce ne sont pas les sujets qui manquent : le foot-business, le foot féminin, le budget d’une équipe cycliste… »

À quelques semaines d’un été de folie sur le plan sportif, celui qui rêvait déjà enfant d’exercer un métier en lien avec ce monde-là est comblé. « Nous planchons sur les hors-séries pour l’Euro de foot, les JO de Tokyo et le Tour de France… Mais ça, c’est pour le côté visible de notre job. Car il ne faut pas sous-estimer la dimension technique induite par l’intégration des rédactions. Nos systèmes informatiques et nos procédures vont travailler davantage en synergie. On sait tous que dans l’informatique, il y a toujours des maladies de jeunesse… Mais nos lecteurs et internautes ne s’en rendront pas compte, enfin j’espère ! »

Le sport local en attente d’un redémarrage

Et pour ceux qui aiment les chiffres précis, revenons en détail sur ce chiffre de 675 pages sports hebdomadaires ‘made in IPM’.

  • 260 pages en national/international, produites par 40 journalistes : 180 pages pour La DH, 50 pour L’Avenir et 35 pour La Libre.
  • 390 pages en régional/local, produites par 20 journalistes et des dizaines de correspondants locaux : 60 pages pour La DH (5 éditions) et 330 pour L’Avenir (9 éditions).

On voit ici que le local est vraiment le terreau de L’Avenir, et pas seulement en foot. « Nous couvrons beaucoup de disciplines, comme le basket, le tennis de table, le cyclisme, le volley-ball, le jogging, l’athlétisme… Nous avons une présence importante sur internet avec la plateforme Footbook qui propose aux abonnés de revivre en vidéo et en exclusivité les meilleurs moments d’une sélection de matchs de football régional, de la D1 Amateurs à la Provinciale 4. Évidemment, cette offre foisonnante est pratiquement à l’arrêt depuis un an pour cause de pandémie… ».

Un dernier souhait en guise de conclusion de cette petite conversation avec Pascal Alexandre ? « J’ai un message à passer aux étudiantes en journalisme à la recherche d’un stage : pourquoi pas le journalisme sportif, et pourquoi pas chez IPM ? J’aimerais en effet intégrer davantage de femmes dans notre rédaction, mais en plus de 15 ans dans le secteur, j’en ai croisé très peu. Elles sont pourtant les bienvenues ! »

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